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MACHAT
Ecrit d'invention
Lorsqu'elle est rentré et s'est installé en face de moi derrière mon chevalet, j'ai eu l'impression que malgré la couleur sombre de sa peau, le soleil avait pénétré avec elle mon triste et lugubre atelier. Elle a posé sur moi un regard d'un noir intense, qui semblait à la fois doux et durcit par les moments de soufrance de sa vie. Elle n'avait rien de parfait, ou plutot elle réinventait la perfection, sa perfection. Son corps déssiné de courbes arrondies et harmonieuses parlait d'une femme, bien avec soit même qui ne se souciait que de sa propre vision de la beauté, son visage lui narait l'histoire dune femme fière qui s'était touours battue pour ses droits, ses croyances et ses valeurs mais que la vie n'avait pas épargné.
" je suis sencé prendre une position particulière ? " dit-elle rompant le silence
" Celle qui vous conviendra sera la meileure" lui repondis je
Quand elle eu trouvé la position qui lui plaisait , j'ai regardé les couleurs dont je disposais et sous la douceur des yeux qui me regardait, j'ai choisis les couleurs adéquates en inserrant cependant un violent contraste entre noir et blanc.
C'est ainsi que j'ai entamé mon tableau, je pense sincèrement y avoir mit tout mon coeur, ne laissant aucuns traits, aucue ombre qui aurait pu exprimé la profondeur de ce visage à la fois si vivant et si terne. Et comme si le temps m'accompagnait une minuscule lueur de soleil s'était insinué par le volet, trempé par la pluie qui était tombé toute la semaine durant. La chaleur de cette femme avait réchauffé le monde autour d'elle. Je me sentais comme un jeune homme qui découvrait l'amour par une magnifique journée d'été, pourtant c'était seulement une femme passionéé qui peignait. mes coups de pinceaux était aussi fougueux que moi. La peinture prenait forme et je me sentis rosir sous la violence de l'effort que je fournissais.
Le couché de soleil qui pointait à l'horizon donnait à toute chose une lueur