Fiche 3
Le personnage de roman du 17eme siècle a nos jours
Extrait 3 : « La faute de l’Abbé Mouret », d’Emile Zola, 1875
Problématique : En quoi la mort de cette héroïne zolienne est elle originale ? I. Chambre nuptiale et chambre mortuaire II. Un suicide passif III. Les sens en éveil
II. Chambre nuptiale et chambre mortuaire * Éléments de décorations qui incite a l’amour « la grande chambre était parée » (mariage), « amour de plâtre », « des membres de femmes se vautraient » symbolisent aussi l’amour, « Les rideaux de calicot blanc » rappellent l’intimité, le blanc peu évoquer la pureté et le mariage. On parle aussi « d’alcôve » qui est un lit d’amour ou Albine a fait l’amour avec Serge pour la 1ere fois ce qui lieu rappelle des souvenirs heureux. * A. vérifie les préparatifs de manière rigoureuse, « Un instant elle resta debout, regardant autour d’elle » l2, Sa principale préoccupation est la décoration de la chambre, ses gestes sont précis et minutieux « elle les tordit, les plias, en fabriqua » l5. Énumération d’actions au passé simple qui illustre l’acharnement, elle ne veut rien oublier cela la fait devenir fébrile, quand elle finit de placer les fleurs elle ferme les rideaux comme au théâtre tout peut alors commencer ou finir. * Fleurs Mariage ou enterrement, ici les fleurs sont coupées donc vouées a mourir, leur dernière activité est de tuer A. Elle utilise les fleurs pour ce faire un tombeau « elle alla..fenêtres » l6. Elle se couche sur le lit pour mourir cette attitude peut être celle d’une mariée au soir des noces « elle souriait », le mot chambre a un double sens, chambre funéraire et chambre nuptiale. Ici le parfum des fleurs est « étouffant » l15, Evocation de l’amour ancien « le 1er aveu, le 1er baisé » souvenirs évoqués par les fleurs. « enfin » l47 ? le mot est prononcé « les noces étaient venue » mais c’est « un instant redoutable » (noces funèbres).

II. Un suicide