L’ensemble des titres de ces quatre poèmes (« musique intérieur ineffable harmonie », « tout est plein d’âme », « un air bien vieux, bien faible et bien charmant rode », « et la voix ne me vient que par bribes ») ne sont pas les titres officiels de ces œuvres, ce sont des passages des textes.
Mise a part le titre du poème de Victor Hugo, ces titre on pour thème le son (« musique », « un air », « la voix ») ce qui fait penser a la mélodie que chacun de ces textes nous transmet a la lecture.
Quand au poème de Victor Hugo, celui-ci n’a pas un titre évoquant la musique, mais pour autant ce poème est emballant avec ses rimes et ses sons tout comme les différent poème.

Cher ami,

En ce jour d’hiver ou la brise souffle sans fin et où le froid nous contraint a allumé notre feu,
Derrière mon cabinet j’écris pour te témoigner tous ce que je pense de tes inspirations.
Ta façon de concevoir tes poèmes me torture quelque peu, cette façon particulière et singulière de mettre des sizains et d’entre mêlé ces rimes nous est quasiment étrangère dans notre France, tout comme les rythmes intérieurs beaucoup usité par toi-même.
« Fin refrain incertain »
Comprendre aujourd’hui pourquoi tes poèmes son fait tel des chansons me parait irréalisable, bien avant celle-ci nous sommes apparu, nous avons à copier sur personne, mes a écrire a la vogue de nos jours.
Et puis toutes ces ruptures, ces cassures qui viennent me titiller quelque millième de seconde mes oreilles, on passe de la tendresse, de la feminitée a l’interrogation accrocheuse.
Et pour terminer sur mes critiques, le fait de changer de thème d’une strophe à l’autre, est parfois difficile à concevoir.
Incantation de la femme puis celle de la petite enfance.
Mais je ne sais pour qu’elle raison, a chaque lecture d’un ver, d’une strophe je ne peux cesser de t’admirer, tout ce que j’ai pu t’admonester est tellement fait avec délicatesse et finesse que pour finir je ne peux t’en vouloir.
Ces sons si différents mais