Dans le texte A, Les lettres persanes, on peut constater un manque de tolrance de la part de personnes qui ne sont pas toutes de la mme religion. Mais, le sujet fait preuve dune tolrance ces conseils religieux, il accepte aussi les diffrents mythes jusqu ne plus savoir lesquels couter. Cet homme fait galement une preuve daltruisme en disant de devoir vivre en tant que bon citoyen et pre de famille. Ce qui ne se rapporte pas propre personne mais bien son entourage. Dans Les lettres philosophiques, laltruisme ny est pas prsent, mais cest bien la tolrance qui y est dmontr par le Quaker qui essaye de faire comprendre lintrt de la religion au touriste non baptis. Lentretien dun philosophe avec la Marchale, dmontre une grande tolrance, la Marchale, une croyante religieuse, rencontre un philosophe des lumires Diderot, un athe, qui tait trs mal peru par la socit car celle-ci tait trs croyante en Dieu. Cette Marchale fait preuve dune grande tolrance, et va interroger Diderot de certaines choses. Or, Diderot dit tre une bonne personne, qui ne pille et ne vole pas, car, celui-ci explique que mme en tant athe et nayant aucune croyance envers Dieu, les rgles sont et resteront les mmes, et quil ny a aucun intrt de croire en la religion, car mme en priant quoi que ce soit, Diderot affirme que lon ne reoit rien en retour. Mais il avoue que la stabilit de la socit est due la religion, car dans la religion le pch est trs mal vu, et sans religion, beaucoup plus de gens feraient des pchs. Nous pouvons donc distinguer quil ya plusieurs genres (ici trois) de tolrance qui sont diffrentes lune de lautre. Il y a une prsence de tolrance plus ou moins stricte dans Les lettres persanes, o diffrents religieux de diffrentes religions, sexpliquent et parle de leurs croyances individuelles sans aucune difficult. Il y a aussi une tolrance moindre, qui est en fait explique par un religieux, ici un prtre, qui se sent offens, outr, du fait quil rencontre un touriste qui nest pas baptis. Enfin,