Nous allons étudier quatre textes présents au sein de ce corpus, ils appartiennent au registre polémique dans le cas où ils manifestent un etonnement, une dénonciation ou un refus. Dans un premier temps nous avons <<Seigneur, je ne saurais regarder d'un bon œil...>> sonnet 150 appartenant au recueil ''Les Regrets'' écrit en 1558 par Joachim du Bellay écrivain de la Renaissance, également,un extrait de ''Le Misanthrope'' écrit par Molière, ainsi que d'un extrait de ''Madame de Bovary'' écrit par Gustave Flaubert écrivain contemporain, puis de ''L'Enterrement'' extrait du recueil Poèmes saturniens écrit en 1866 par Paul Verlaine.
Ces textes présentent un thème commun, celui du pouvoir satirique, avec la personnes grotesques ou ridicule. Alors en quoi ces texte révèlent-ils de la poésie satirique ?

La satire est une œuvre dont l'objectis est une critique moqueuse des individus, des Etats...., dont l'intention est souvent de provoquer ou de porter à réfléchir. Ici, dans ces quatre textes, le registre satirique remonte au premier plan, sur des sujets différents qu'il soit d'ordre de la critique des courtisans appartenant au Vatican par Joachim du Bellay, de la critique de l’hypocrisie, et de la fausse amabilité qui n'est qu'artificielle par Molière, l'absurditée de la situation présente avec le texte de Gustave Flaubert, ou encore la caricature des membres présents lors de l'enterrement. Ces trois austeurs utilisent un léxique visant la moral avec des termes péjoratives comme dans le texte A avec ''vieux singes''(l.2), ''crèvent de rage''(l.10),ou encore ''hypocrite''(l.13), ainsi dans le texte B nous avons la continuité des forme de la satire ici qui marque la moquerie, l'insulte envers d'autres, mais également en s'attaquant au rapport entre humain ici des amis en contradiction chacun défend ses opinions avec ''Non''(l.5), ou encore ''je refuse'' (l.25), ainsi que le texte B qui montre l'absurdité de la situation avec ''venait de se précipiter dans un