D'abord, je crois que pour pouvoir résister à la surconsommation, il faut être au courant de toutes les conséquences désastreuses de ce phénomène. En effet, d'un point de vue écologique, nos envies luxueuses nous amènent à un problème de taille : la pollution. Toute cette quantité incroyable de déchets provenant des emballages des produits, le transport et la fabrication de ces derniers constituent un obstacle à la préservation de notre environnement. Ainsi, pour contrer ces problèmes, il faut faire preuve d'écoresponsabilité. En d'autres mots, faire des achats intelligents et user de jugement. Avant chaque achat, nous devrions nous poser des questions. En ai-je vraiment besoin? Puis-je me le permettre et en vaut-il vraiment la peine? C'est cela, être écoresponsable. Aussi, il faut essayer le plus possible d'acheter des produits locaux, parfois plus chers, ou essayer de redonner une deuxième vie aux objets au lieu de jeter et racheter. C'est pour cela que, dans le texte d'Hélène Roulot-Ganzmann, ' C'est quoi être écoresponsable ', il est dit : 'être écoresponsable, ça nécessite du temps et de l'argent'' . Cependant, de petits sacrifices ne feront qu'augmenter notre bonne volonté envers la protection de notre milieu. De plus, je dois vous parler d'un autre point. La surconsommation est aussi mauvaise économiquement parlant. Saviez-vous que les ménages canadiens ont une dette équivalent à 144% de leurs revenus? C'est ce que nous apprenait l'article d'éric desrosiers dans Le Devoir, le 12 mai 2010. Personnellement, je crois que ce n'est vraiment pas normal d'avoir une dette plus grosse qu'un revenu. Il faut avouer que cela est très utile, mais comme toute chose, il faut l'utiliser a bon escient et avec modération.
Pour conclure, nous pouvons résister à la surconsommation, il faut seulement prendre en compte tous les effets négatifs qu'elle a sur notre société. Gandhi a dit un jour: '' Vivre simplement pour que d'autres puissent simplement vivre''. Il ne faut jamais