Francais
3A2
Adriano Ventura
L'infidélité et la fidélité au 17ème siècle :
Au 17ème et 18ème siècle, l'infidélité est très présente dans les milieux pauvres mais aussi dans ceux plus aisés. Cet acte est mal vu par l’Église qui le qualifie de pécher grave, il ne faut pas oublier qu'elle n'accepte pas le divorce. Ceux qui divorçaient ne pouvaient plus se remarier. Il a fallu attendre le 18ème siècle pour que quelque chose change, en effet les révolutionnaires ont voté pour que le divorce soit accepté, ça réduirait donc l’infidélité. Mais contrairement au divorce, le fait d’être infidèle est toujours mal vu. Il ne faut pas oublier que la situation de la femme dans la société était très triste, une femme était inférieur à l’homme donc un homme pouvait plus facilement tromper sa femme avec une autre. Si un mari commet une infidélité il ne sera pas autant sanctionné qu’une femme, elle risque de se faire injurier. La fidélité existe tout de même et comme nous le savons c’est un acte très loyal et respectueux envers sa femme ou mari.
L'infidélité et la fidélité dans le Théâtre du
17ème :
Un exemple célèbre est bien sûr celui de la pièce de théâtre écrit par Molière
« Dom Juan ». Le personnage principal défend l’infidélité, c’est un coureur de jupons pour lui l’infidélité est le vrai plaisir. Il va même jusqu’à faire comprendre qu’être infidèle est presque naturel. Dans « L’Illusion comique », il y a aussi la présence d’une infidélité, Clindor va commettre cet acte. Elle est toujours autant mal vue et la mettre en scène au théâtre pouvait un peu déranger.
Il y a aussi de la fidélité dans le théâtre, l’amour sincère entre deux époux mais c’était moins « attirant » que l’infidélité.
Français
3A2
Adriano Ventura
Exemple littéraire :
J’ai choisis comme exemple la scène de « Dom Juan » où le personnage principale Dom Juan parle de ce sujet avec son servant Sganarelle. Pour lui la fidélité est respectée que par les ridicules, le vrai plaisir se trouve dans
l’infidélité.