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Lecture Complémentaire
Tout d’abord, Diderot définit son entreprise de l’Encyclopédie dans la définition de « Encyclopédie » (A) par : « le but de l’Encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la Terre…devenant plus instruits, deviennent en même temps plus vertueux et plus heureux » (l.5 à 13). On peut donc remarquer que c’est pour le bonheur et la vertu des humains. De plus, dans le document C qui est la définition de l’autorité politique, le philosophe soumet ce texte à son jugement critique dès la première ligne : « Aucun homme n’a reçu la nature le droit de commander aux autres » (l.1.2). Ce qui est dit dans les définitions est un peu comme un idéal culturel. Puis, dans le document B qui nous présente une « planche » de l’Encyclopédie est la preuve que Diderot donne un sens au mot en passant par la maîtrise des techniques. Ici, c’est un travail manuel, de production humaine qui est le métier de cordonnier et Bottier.
En quoi l’Encyclopédie est-elle représentative des Lumières ?
Le but était de rassembler les connaissances acquises par l’humanité. D’ailleurs Diderot relie ce projet d’encyclopédie à la philosophie et puis c’est durant ce siècle qu’il a eu le plus grand développement des connaissances. Cette encyclopédie à aussi pour but de mener à la réflexion comme chez Voltaire avec Micromégas. Certains dénoncent les atteintes aux libertés, et mettent en pratique un esprit critique (laïque) : si on n’admet plus le principe du droit divin, alors, il faut fonder l’autorité politiques sur des valeurs plus justes.
D’après Diderot, l’instruction devient la condition de l’accomplissement du genre humain et de sa vertu.
Lecture complémentaire sur le Fanatisme
- Voltaire, Dictionnaire philosophique, « G.F. Flammarion » ( 1 - Définition du mot « FANATIQUE » tiré du Petit Robert ( 2 - Chapitre 6 de Candide, Voltaire, 1759, « Comment on fit un bel auto-da-fé pour empêcher les