Les freegans anti-capitalistes - le nom combine "libre" et "vegan" - sont tellement consterné par la perte de la société de consommation qu'ils essaient de vivre sur les restes, la récupération de la nourriture dans les poubelles des supermarchés.
«C'est amusant. C'est une grande joie. C'est plus amusant et plus satisfaisant que de simplement aller au magasin et dire: «Je voulais un peu de pain et je l'ai eu». C'est la surprise - et le prix ", a déclaré Janet Kalish, un professeur de l'école secondaire de New York qui se décrit comme« 60 pour cent freegan ".

"Le problème est que je ne que les Américains ont perdu le contact avec ce que la nourriture est pour», le professeur Jones. "Nous avons perdu le contact avec les processus qui apportent à la table et nous n'avons pas remarqué l'inefficacité."
La philosophie de freegan "éthique alimentaire», fait valoir que le capitalisme et les travailleurs de production de masse d'exploits, les animaux et l'Environnement.
Adam Weissman, un militant freegan et parfois un garde de sécurité dans le New Jersey, dit Freeganism issu du radical des années 1960 "yippie« mouvement mais il a aussi des affinités avec les clochards de la Grande Dépression qui a voyagé à travers le pays en volant des promenades sur les chemins de fer.
"J'ai pitié pour les gens qui n'ont pas compris ce mode de vie", at-il dit. «Je suis capable de prendre de longues vacances au travail, j'ai toutes sortes de biens de consommation, et je mange un régime alimentaire très sain de nourriture vraiment merveilleux: asperges blanches et de fruits de cactus, trois différentes sortes de champignons et de quatre différents types de pré-coupe salade. Et je ne fais que penser de ce qui est dans mon frigo en ce moment.
«Essentiellement, le ciel est la limite. Nous avons trouvé télévision à écran plat, de travail Boom-boîtes et les chaînes stéréo. J'ai rassemblé plus de ma garde-robe. Vêtements de designer de l'année dernière en parfait état est ignoré car il