Freund

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carpe diem etg djdppd d er hh kl oij r lsmspsd djfig kzeydebdcfkf dfkff kdeieiirjrfj f rf yj k lo l qof rlgha rhcjmzceozcc u izerpoizer zce gzdysdefbfv g tt sq v kimp vfgénération de psychothérapeutes, qui, peu à peu, élaborent ce que sera la psychanalyse, d'abord en Autriche, en Suisse, à Berlin, puis à Paris, Londres et aux États-Unis. En dépit des scissions internes et des critiques émanant de certains psychiatres, notamment, et malgré les années de guerre, la psychanalyse s'installe comme une nouvelle discipline des sciences humaines dès 1920. Freud, menacé par le régime nazi, quitte alors Vienne pour s'exiler à Londres, où il meurt en 1939.

Le sociologue Norbert Elias, tout en se distanciant du mouvement des psychanalystes, reconnaîtra sa dette envers Freud, qui avait proposé, selon lui, « le modèle le plus clair et le plus avancé de la personne humaine »[1]. Le philosophe Paul Ricœur le situe aux côtés de Karl Marx et de Friedrich Nietzsche comme étant l'un des trois grands « maîtres du soupçon »[2], de ceux qui ont induit le doute dans la conception philosophique classique du sujet. La « psychanalyse », dont le terme apparaît en 1896, repose sur plusieurs hypothèses et concepts élaborés par Freud. D'abord, l'hypothèse de l'inconscient révolutionne la représentation du psychisme. La technique de la cure, dès 1898 et d'abord sous la forme de la méthode cathartique, avec Joseph Breuer, puis le développement de la cure type, est le principal apport de la psychanalyse. Des concepts, comme ceux de refoulement, de censure, de narcissisme, de moi et d'idéal du moi, ou davantage métapsychologiques comme les pulsions, la première topique et la seconde topique, le complexe d'Œdipe ou le complexe de castration, entre autres, vont, peu à peu, développer et complexifier la théorie psychanalytique, à la fois « science de l'inconscient », selon Paul-Laurent Assoun[G 1], et savoir sur les processus psychiques et

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