Fusion
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Ainsi, la Centrale laitière, détenue à hauteur de 55% par l’ONA et 8,3% par la SNI, s’apprête à ouvrir son capital, au même titre que la filiale Cosumar (sucre), 55% ONA et 7,09% SNI et que Lesieur (55% ONA, 20% SNI).
Du côté du top management, on parle de «maturité atteinte par certaines filiales» pour justifier l’ouverture au capital (Centrale Laitière, Cosumar, Lesieur). Un argument qui ne peut expliquer, à lui seul, l’opération de retrait partiel de la bourse. Et si tel est le cas, cela voudrait-il dire que le groupe cède les entreprises qui n’ont plus un potentiel de croissance important et garde celles qui ont de meilleures perspectives de croissance : nouvelles technologies, banques, énergies renouvelables, grandes distributions,…
Le nouvel holding qui naîtra des cendres de SNI / ONA, devrait engranger une importante manne financière à la suite des cessions en bourse. Dans l’hypothèse