FÉDÉRATION DES FEMMES DU QUÉBEC
« L’hypersexualisation de la société »

Travail d’analyse de l’actualité canadienne et québécoise reliée au processus de mise à l’agenda

« Administration et politiques publiques »

Le 8 avril 2011

La fédération des femmes du Québec (FFQ) est une organisation non partisane qui a comme rôle la concertation et la mobilisation au sein du mouvement des femmes. Elle travaille à la transformation des rapports sociaux entre hommes et femmes dans toutes types d’activités dans le but de favoriser le développement de la pleine autonomie des femmes et la reconnaissance véritable de l’ensemble de leurs contributions à la société. Ses objectifs sont de « promouvoir et défendre les intérêts et les droits des femmes, lutter contre la pauvreté et toutes les formes de violence, de discrimination, de marginalisation et d’exclusion à l’égard des femmes, atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes, travailler à la mise en œuvre de conditions qui facilitent l’atteinte de l’égalité, intégrer les femmes dans leur diversité à cette lutte et développer des liens de solidarité avec des groupes de femmes du monde ». La FFQ est un groupe d’intéressé qui fait parti des groupes d’intérêt général (problèmes liés à la société), elle regroupe des acteurs politiques à l’extérieur de l’appareil gouvernemental donc n’a pas de ressources statuaires ni de postes officiels d’autorités,
Mon sujet du processus sur la mise en agenda est « l’hypersexualisation » de la société, ceux que dénonce la FFQ et compte dans l’objectif de la lutte contre la violence et la marginalisation à l’égard des femmes. Ce concept est défini par l’organisation comme une « surenchère à la sexualité qui envahit tous les aspects de notre quotidien et que les références à la sexualité deviennent omniprésentes dans l’espace public : à la télévision, à la radio, sur Internet, les cours offerts, les objets achetés, les attitudes et les comportements de nos pairs, etc.». Le corps et