"Gabriel péri" paul éluard
En premier plan le poète s'exprime sur le mort injuste d'un homme innocent et s'en indigne.
La strophe 1 contient une anaphore : « un homme est mort » qui est répéter trois fois au vers 1, 3, 5. Cet mort est formulé de manière répétitive à l'aide des monosyllabes : « un homme est mort ».
L'allitération en [K] au début des hémistiches vient renforcer la violence de cet entré en matière.
Pour parler de Gabriel Péri le poète dresse le portrait d'un homme qui luttait contre la guerre : « un homme est mort qui n'avait pour défense que ses bras ouverts à la vie » S.1. De plus l'image des bras ouvert à la vie font penser au Christ qui est mort les bras ouvert et qui s'est sacrifié pour sauver les hommes. La négation restrictive « ne que » présente un homme qui est mort dans un rapport de force disproportionnée : il reste les bras en croix face à ses bourreaux. Gabriel Péri est présenter comme un martyr et son sacrifice a donc un sens.
Dans les 15 derniers vers on retrouve le rôle du poète qui dans ce poème tout en dénoncent la mort injuste d'un homme, montre le pouvoir des mots. Les valeurs défendu par Péri sont décliner à travers toute une série de « mots innocent ». Il y a parmi ces mots des termes abstraits (chaleur et amour) et des termes concrets (frères et camarades) mais la plupart évoque la vie et le bonheur. Le poète exalte donc la vie grâce au pouvoir des mots : on peut voir que la mort évoqué en ouverture et surmonté par la vie en fin de poème.
Pour conclure on peut dire que dans ce poème Paul Éluard a un rôle essentiel à jouer, pour que la mort de G;Péri ne soit pas vaine : il perpétue le souvenir et invite à la fraternité et à la