Gael Turine
J’avais passé ma vie à les écouter, je leur obéissais. Je passais mes nuits à surveiller les territoires bangladais, chaque jours avec la peur de trépasser. C’était plus qu’avoir peur, j’étais effrayé. Mes pieds n’avait jamais cesser de trembler. La peur était devenu cette touffeur qui me maintenait éveillé toute les nuit qu’avais je du passer à les protéger. Quant à mon con corps, petit à petit, il commençait a s’assécher. J’avais beau criailler, mais tout ce qui venait à moi n'était qu'angoisses et désarrois. Je me mettais continuellement à dégouliner de sueurs, on sentait mon appréhension. Quel bruissement, quelle clameur, que ces eaux procréaient. Toujours avec cette sensation, avec l’impression que mon corps à humbles pas, se désagrégeait. Ça avait longtemps duré, une routine à laquelle j’étais incapable d’échapper, le temps semblait s’être perdu dans une rafale formel pas facile à repérer. Jusqu’au jour où j’ai fais la connaissance d’Abhaya. Belle, elle m’avait plus que submergé cette jolie indienne. Elle vivait de l’autre coté, Abhaya était gardienne et tout comme moi, c’était là où elle passait ces interminables journées assommante, c’était chez elle et juste derrière le murs
IndeBangladesh , c’était chez moi.
C’était la première fois aussi que je voyais une femme faire le même travaille que moi, je lui avais demander alors: « Comment se fait il qu’une belle femme comme vous reste là », elle m’avait répondu « Je m’appelle Abhaya, en Inde mon prénom signifie « sanscrainte ».
Suite à ces premiers mots, Abhaya et moi nous rapprochions chaque nuit de plus en plus et ces rares jours où nous étions tout deux de garde, il fallait faire attention, pas un mot. Après de longs mois passés, j’eu fini par lui dire que pour moi elle comptais beaucoup, que mon amour pour d’elle ne connaissais plus de frontière. Et si ce n’était que par un petit