Nouveaux venus et gloutons

Nous sommes dans une époque de grosses vaches. Le gâteau de la consommation s’agrandit et personne ne se plaint beaucoup si quelqu’un s’assoit a table, même s’il a beau être glouton et même si les convives ne l’ont pas invité. Le premier invité inespéré s’appelle le Mécanicien, nom centenaire qui aujourd’hui change d’acception (sens/ signification). Cela fait des jours que les convives de San Andreu se préparent, s’organisent et travaillent ensembles. De plus, la mairie les a aidés en rendant les rues en zone piétonnes, qui d’autre part (c’est la raison pour laquelle c’) est l’arbitre de ce concours de manger de gâteaux, et c’est elle qui invite les nouveaux convives affamés. Ce qu’il se passe c’est qu’il y a d’autres convives de l’autre coté de la table, sur l’autre rive du fleuve, et ceux-là sont plus en retard pour s’organiser (sont moins rapide à s’organiser). De plus, sa mairie qui n’est pas arbitre mais spectatrice, est plus pauvre et n’a toujours pas pu préparer (ranger)les rues ni mettre de poubelles.

Cependant, personne n’a dit que la vie est juste. A présent, il faut rattraper le temps perdu. Les convives gloutons se piquent (s’enlèvent) toujours des morceaux de gâteaux les uns aux (les) autres, ils s’appellent Montigala, Glories ou Sant Adria. Cependant, ceux qui ont une petite bouche peuvent survivre avec quelques miettes de plus ou de moins et, ils auront(ont) toujours plus ou moins à payer les pots cassés. C’est pour ça qu’ils peuvent seulement s’en sortir en s’unissant et en luttant avec les mêmes armes que les nouveaux gloutons venus(nouveaux gloutons arrivés) : plus de services pour les clients et plus de coopération pour diminuer les