Galilée, célèbre physicien et mathématicien du XVIIème siècle est toujours présenté comme le plus hardent défenseur de la théorie copernicienne, il à prouver sa validité par de multiples expériences et observations. Mais avant toute chose il est nécessaire de comprendre que la thèse de Galilée n’a guère été considéré comme admissible au début de sa carrière (faute de preuves). Ce n’est que grâce à une lente réflexion scientifique qu’il est parvenu à ce constat. Lors de son enfance le futur inventeur de la lunette astronomique a été instruit à l’aide des préceptes de savants anciens comme ceux d’Aristote ou Copernic qui énoncent par exemple que la Terre est au centre de l’univers. Pendant ces années passées dans l’université italienne le savant s’est aperçu que l’observation des phénomènes naturels passe par l’étude du mouvement donc par des recherches mécaniques. Au cours de ses nombreux travaux dans cette branche de la science Galilée est amené à prendre connaissance d’une théorie nouvelle l’héliocentrisme. C’est en étudiant ce nouveau concept que Galilée se rend alors compte de l’invraisemblance de la théorie d’Aristote. Néanmoins il est très important de noter que la réflexion de Galilée ne tarit pas. Contrairement a de nombreux scientifiques qui après une découverte importante décident d’arrêter leurs études, il remet en cause la validité de la théorie de la géocentrie. Peu à peu ce raisonnement lui fait prendre conscience que la théorie copernicienne est apte à remplir le rôle de la nouvelle théorie(celle qui remplace la théorie des anciens, celles d’Aristote par exemple). A la suite de quelques études Galilée comprend que cette théorie est celle qui va révolutionner le monde scientifique. Dans le même temps Galilée cherche à appuyer ses dires par des preuves. Le dix octobre 1604 une étoile est observée dans le ciel, Galilée étant toujours animé par la volonté de prouver la vraisemblance du système copernicien avance sans preuve que cet astre