Gargantua préparation bac :Pour rappelle gargantua (étymologiquement du languedocien : « Quel grand tu as ») est un prince. Il est le père de Pentacruelle (le personnage principal du premier Roman de Rabelais) et le fils de gargamelle (sa mère, fille du roi des Parpallions) et Grandgousier. Gargantua est le deuxième roman de Rabelais qu’il publia sous le pseudonyme Alcofribas Nasier en 1534. Cet ouvrage relate l’apprentissage et les exploits guerrier du géant gargantua. Ce roman comique et satirique …afficher plus de contenu…

Dans le chapitre 15, La comparaison entre eudémon élevé selon l’éducation humaniste et Gargantua selon celle des sophistes montre bien le fossé entre les deux systèmes éducatifs. Gargantua se tait et pleur alors qu’Eudémon fait un discours clair avec une grande éloquence d’éducation. La vigueur d’Eudémon s’oppose à la somnolence de gargantua, qui se trouve dans un abrutissement certain. Cette nouvelle éducation est basée sur la réflexion. Il n’est plus dans l’excès et la démesure. Au fur et à mesure du roman, gargantua n’est plus vu comme un géant mais comme un homme. Il reçoit l’éducation d’un bon prince. Cette éducation est aussi basée sur une adaptation à l’élève. Ponocrates étudies le comportement de gargantua avant de lui apprendre ces disciplines. La guerre Picrocholine fait le portrait d’un monarque humanisme s’opposant à Picrochole, un monarque qui gouverne sous …afficher plus de contenu…

Derrière le sens littéral du texte, il se cache un haut sens qui permettra a éduqué la haute société de l’époque.Il veut nous éduquée par un apprentissage du monde et I/Un roman dénonciateur et Révélateur 1) Une dénonciation des institutions religieuseRabelais est un moine bénédictin, moins fermée à la culture profane et plus souple. Il dénonce le pouvoir des institutions et du pape. Le chapitre 12 qui montre gargantua offrant des chevaux en bois à des invités de son père qu’il fait croire comme des vraie. La fin du chapitre se termine sur une phrase qui remets en cause la place du pape et sa morale « Tu nous as bien bernés, mon mignon. Je te verrais bien pape un jour ou l'autre ».Cette dénonciation de l’institution passe