Genèse de l’origine du langage ? quelles sont les rapports entre pensé et langage ?
Il y a donc le problème du besoin : une fois qu’il existe on a de plus en plus besoin.
Le langage s’auto-entretient.
Si il y a un langage comme condition de la pensé : absence de l’un entraine l’absence de l’autre. L’un présupose l’autre. Mais quel est le fondement ? qu’est-ce qui est premier ? Qui fonde quoi ?
La pensé a besoin du langage. Dans l’état de nature, il n’y a pas de langage. Il faut des conventions : besoin de communication + se mettre d’accord.
Vu que langage et pensé sont interdépendants, qu’ils se présuposent l’un l’autre, l’origine du langage devient un problème très délicat.
L’orientation de rousseau : si on se donne une première étape, l’expression, il est néanmoins possible d’imaginer les autres étapes aboutissant au langage articulé.
Le langage nourit la pensé : un certain langage permet un meilleur degré de pensé qui permet un meilleur degré de langage qui permet un meilleur degré de pensé et ainsi de suite.
La langage n’est pas un instrument de communication de la pensé mais il constitut la pensé : une idée est fixé par un mot et sans ce dernier il n’y aurait pas d’idée.
environement à l’état nature contitué d’objets singuliers : création mot singulier, nom propre. le nom propre singulier devient pluriel : qu’est qui fait qu’on passe au nom propre au nom commun ? propriété d’inclusion partagée, sauf que cette propriété est abstraite.
(« Dans un premier temps, le mot chêne désigne une expression et en terme de pensé c’est un cas particulier dans une catégorie générale. »)> 1 mot = 1 phrase puis cela se paufine…
BILAN : * À cause de l’interdépendance pensé/langage, l’origine de langage est un problème énorme, peut-être ?insoluble ? *