La gestion de trésorerie est devenue une fonction à part entière au sein de l’entreprise au début du 20ème siècle.
Cette technique s’est développé avec l’emergence des moyens de financement et de placement. L’ebjectif étant d’optimiser la festion de la trésorerie en placant les éxcédents et en réduisant le coût de financement. En effet, la problématique de financement du BFR à longtemps préoccuper les chefs d’entreprises. La recherche de financement, comme réaction à des besoins immédiats et non prévus par des plans budgétaires, entrainait des axes fixés et pouvait mettre en péril l’avenir des entreprises.
Par conséquant, celles-ci ont opté pour la productivité, et commençaient à mettre en place des budgets ou des plans de tésorerie prévisionnels.
Section 1 : le budget ou le plan de trésorerie prévisionnel :
Le budget ou le plan de trésorerie prévisionnel peut s’étaler sur des périods variées plus ou moins longues mais ne dépassant jamais un exercice d’exploitation et hors d’exploitation.
Le plan de trésorerie prévisionnel annuel est généralement structuré mensuellement avec une partie reservé aux encaisement et une autre réservée aux décaissements. 1. Encaissement s:
Ils concernent le CA, les produits finis, les autres produits d’exploitation et la TVA récupérée. Il peut s’agir également d’autres produits hors exploitation tels que la mise en location d’un dépôt appartenant à une entreprise industrielle ou commerciale. 2. Décaissements :
Ils concernant toutes les charges qui donnent lieu à décaissement notamment les achats, les charges externes, les charges du personnel, les impots et taxes, et éventuellement les charges financières si on peut les anticiper.
Il ne faudrait pas tout de même omettre de reporter le solde de trésorerie précédant (celui de l’année N-1) : le placer au niveay des ressources auquel cas il est excédentaire et au niveau des emplois lorsquil est déficitaire.
Aussi faudrait-il penser à placer la TVA à récupérer et celle à