Grammaire
Contrairement à la grammaire descriptive qui se contente de faire des constats. Elle constate qu’il existe des normes qui varient selon la situation. Mais elle n’instaure pas de hiérarchie.
A. Les grammaires prescriptives.
On les appelle aussi les grammaires normatives. Elles veulent enseigner ce qu’on appelle le « bon usage » de la langue. Ce qui peut aboutir à une manière extrême appelée le purisme. Ses critères de reconnaissance sont : la valorisation sociale ; Un discours de dénigrement ou de célébration ; et ne dimension qui n’est plus seulement prescriptive, mais également proscriptive. Ils émettent des discours axiologiques (Bien/mal).
Norme vient du grec gnomon, signifiant l’équerre, la règle (l’instrument). La norme est ce qui doit être réglé. La norme sélectionne un seul usage qu’elle présente comme le seul correct.
Le purisme n’hésite pas à classer les écrivains, surtout depuis les années 1920, car les écrivains se sont de plus en plus émancipé de la syntaxe recommandé par les normatifs. A partir de Flaubert, les écrivains ont voulus tester les limites de la langue.
La littérature est passée de conservatoire à laboratoire (T.Philippe)
Ce qui était considéré comme une faute auparavant n’en est plus une maintenant.
Ex : je lui ai obéi et je l’ai obéi. La première était fausse, et la seconde correcte. Maintenant c’est l’inverse.
B. La grammaire descriptive :
C’est l’approche du linguiste, qui ne tranche pas entre les usages concurrents, il les rapporte aux situations de communications dans lesquelles on les rencontre.
L’incise : voir le texte.
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