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Le « GREENWASHING » * Introduction :
Actuellement, nous sommes en effet conscients que la société entière cherche à avoir une conscience écologique, c’est d’une toute autre sorte de conscience dont il est question quand on aborde la volonté «verte» des entreprises. Il est évident que les grandes marques de ce monde n’ont d’autre choix que de suivre le tournant environnemental dans le but de se forger (un capital de sympathie) une bonne image auprès des éco-consommateurs dont le nombre ne cesse d’augmenter. C’est pourquoi cela nous amène à nous poser la question suivante : le « Greenwashing » est-il fondamentalement le début d’une ère nouvelle en matière d’éco-consommation ? De là naît toute la complexité du problème… Il est possible de répondre à cette question : en tentant dans un premier temps d’éclaircir la volonté réelle de ces entreprises à suivre cette vague en terme de communication et d’innovation, avant d’étudier, l’efficacité et la portée de ce concept.

I. Des entreprises qui surfent sur le « Greenwashing » : une nouveauté en matière de communication et d’innovation

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L'écoblanchiment se caractérise souvent par le changement de nom de la marque ou du produit, pour donner l'impression de « nature », en utilisant parfois « abusivement » l'argument écologique pour vanter comme « bons pour l'environnement » des activités et des produits en réalité polluants ou dont le bilan écologique est négatif.

1.1) Effets positifs dans le cadre d’une entreprise

Exemples : dans l’industrie automobile * VOLVO XC90 : "La nature est si belle, lorsqu'elle se pare de ses plus beaux reflets "
Un exemple très concret dans l’industrie automobile avec le concept de « voiture verte » (en lien avec la crise économique actuelle : enjeu de récupérer des clients potentiels). Par exemple la marque VOLVO qui vante son concept « vert » afin