Grippe h1n1
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Au sens juridique du terme, le principe de précaution provient du droit de l'environnement et du droit de la santé, ayant été développé suite à des affaires telles que celle du sang contaminé ou de la « vache folle » [1]
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Au XXème siècle, la mondialisation des risques environnementaux explique l'introduction du principe de précaution dans la gouvernance mondiale. Cette modélisation décrit Ce qui serait arrivé à la couche d'ozone si les CFC n'avaient pas été rapidement interdit après qu'on ait pris conscience de leur effet destructeur de la couche d'Ozone. Des modèles aussi pointus n'étaient pas disponible quand il a fallu proposer et voter le protocole de Montréal, « les Parties ont dû envisager leur action sur la base des meilleures informations disponibles » (...) « les Parties, appliquant le principe de précaution, ont pris dans un premier temps des mesures modestes qui ont été par la suite élargies et développées. Ces premières mesures ont envoyé un fort signal au marché, qui a conduit à la mise au point de nouveaux produits de remplacement et des technologies connexes, ce qui a ensuite permis aux Parties de prendre la décision d’éliminer complètement