Gros del

4488 mots 18 pages
Réflexion sur les causes de la liberté et de l’oppression sociale à toujours été considérée par Simone Weil comme son œuvre principale. En 1934, l’année de sa rédaction, la philosophe décide d’abandonner provisoirement sa carrière d’enseignante pour être directement confrontée à la réalité d’une époque de l’entre deux guerres, en plein bouleversements économiques, sociaux et politiques.
Pendant une année, Simone Weil partagera, et au même rang que n’importe quel d’entre eux, les conditions de travail des ouvriers dans les usines ; cette expérience du travail à la chaine marquera un véritable tournant dans le cheminement intellectuel de Simone Weil.
Dans cet ouvrage, elle entreprend une critique du système, qu’elle juge oppressif, qui règne au sein de nos civilisations modernes, et tente d’en déterminer les causes.
Sa thèse, menant la totalité de l’œuvre, est que rien ne peut être pensé en vivant dans l’oppression.
Avant de conclure, Simone Weil consacre une dernière partie consistant à faire l’esquisse de la vie sociale contemporaine. Ce passage, extrait de la fin de cette partie, est davantage consacré au problème que pose le rôle de l’état en ces temps de préparation de guerre et plus précisément la prépondérance de celui-ci dans de plus en plus de domaines.
D’abord, Simone Weil tachera d’expliquer quelle est le rôle de l’état ; et quelle type d’organisation celui-ci met –il en place pour atteindre ses objectifs ? Pour répondre à ce problème, elle démontrera dans un second moment que tout ce qu’entreprend l’Etat a pour unique but la préparation à la guerre et le surplus de puissance, au détriment de l’oppression sociale que ces projets implique ; Elle citera ensuite l’exemple type d’un pays à l’Etat souverain, où oppression sociale et mentale de l’individu au service de l’Etat sera de plus en plus un modèle pour les autres pays. Le dernier moment de ce passage peut s’interpréter comme un certaine mise en garde de la part de

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