Travail de session en Sociologie
La grève étudiante québécoise de 2012, fut la plus longue de l’histoire du Québec, soit 201 jours. Elle fut déclenché en réponde à l’augmentation des droit de scolarité universitaire par le gouvernement du parti libérale de Jean Charest.
L’augmentation prévu était soit de 75% sur 5 ans ou une augmentation de près de 82% en 7 ans cela dit pour les années 2012 à 2017 le montant passerait de 2168$ à 3793$ et pour la période de 2012 à 2019 le montant passerait de 2168$ à 3946$. Cette grève générale illimitée touchait plusieurs les établissements d’enseignement supérieur dont les étudiants des cégeps et des universités. Ce mouvement étudiant était dirigé par quatre principale association étudiante soit; la CLASSE, la FEUQ, FeCQ ainsi que la TACEQ.
Ce conflit divisa les étudiants en deux groupes, ceux qui étaient en accord avec l’augmentation des frais de scolarité, (un groupe minoritaire) et un groupe majoritaire qui étaient en désaccord avec la hausse donc en faveur de la grève. C’est ainsi qu’elle fut déhanchée le 12 février dernier, avec une majorité d’étudiant révolter par cette hausse.
Dans cette étude sociologique de la grève de 2012, j’aborderai certains aspects dont : les rapports entre les classes sociales face à l’augmentation des coûts de scolarité, les conséquences de cette grève sur la société et l’impact de cette révolte étudiante sur le monde.
Rapport entre les classes sociales face à l’augmentation :
Selon le concept de Karl Marx, l’impact de cette grève divisa la population en deux groupes : les Bourgois et les prolétaires. Les bourgeois, ayant plus de moyens financier, n’étaient pas en désaccord avec la hausse car, ils avaient, eux, les moyens de payer l’augmentation sans devoir réellement s’endetter pour permettre à leurs enfants d’avoir une meilleur éducation. Cela dit, les enfants de ceux-ci peuvent se fier sur l’aide de leurs parents plus fortunés. Cependant la classe moyenne et la classe pauvre (les