À Sète, monsieur Beiji, 61 ans, travaille dans un chantier naval du port et se retrouve au chômage. Père de famille divorcé, il vit avec la patronne d'un hôtel et sa fille, Rym, mais reste très lié à ses enfants et à son ex-épouse. Avec son indemnité de licenciement, il envisage d'ouvrir un restaurant sur un vieux bateau. Ce projet nécessitera l'aide de son ancienne et de sa nouvelle famille ainsi que de ses amis.
Après plus de trente ans passés dans les chantiers navals de Sète, Slimane, ouvrier de 61 ans, est réduit au chômage. Avec sa maigre prime de départ, ce père divorcé d'origine maghrébine compte ouvrir un restaurant à bord d'un vieux rafiot. Rym, sa belle-fille, croit au projet et l'aide à abattre les premiers obstacles administratifs. Mais les investisseurs se font rares. Si bien que Slimane décide d'organiser un immense repas de couscous au poisson à l’intention des notables des environs, qu'il veut convaincre de le soutenir. Son ex-épouse et ses enfants arrivent en renforts, mais l'irresponsabilité de son fils, un coureur de jupons, risque de compromettre sérieusement la réussite de la soirée.
Le vieux Slimane, ouvrier sur le port de Sète, n’a qu’un rêve ouvrir son restaurant avec pour spécialité le couscous de poissons. Père d’une grande famille recomposée, il a l’impression de devenir un véritable poids pour sa famille, et il espère retrouver une utilité grâce à son projet. Heureusement que Rym la fille de sa compagne est là pour le soutenir.

La graine désigne à la fois un des éléments indispensables au couscous. Mais aussi la jeunesse qui doit prendre de la graine afin de remplacer les plus âgés, désignés ici par le mulet que caractérise le vieux Slimane. Le mulet est aussi désigne aussi un poisson indispensable au fameux couscous de poisson.

L’histoire est très belle, celle d’un patriarche qui espère trouver un sens à sa vie et transmettre un bien de valeur à sa famille, immigrés.
Les comédiens jouent leur propre rôle et n’en rajoutent