NOM : Juliette Périers-Denis Résultat :

Travail personnel #2 (1%) 1. Dans la nouvelle Les Rois, pourquoi pourrait-on affirmer que, comme dans tout récit réaliste, les personnages sont prisonniers de leur condition ? Il me semble que l’on pourrait dire que les personnages sont prisonniers de leur condition puisque, au début du récit, ils sont seuls et veulent trouver des femmes pour se changer un peu les idées, mais qu’à la fin du récit, malgré tous leurs efforts et leurs mésaventures, ils se retrouvent toujours seuls et font fuir toutes les femmes qu’ils ont réussi à trouver. ( /1)

2. Dans Au bois, de quoi est accusé le couple arrêté par le garde champêtre Hochedur ? Expliquez ce que cela a d’incongru. L’homme et la femme sont arrêtés puisque le garde champêtre Hochedur les a surpris en flagrant « délit de mœurs » (alors qu’ils s’embrassaient dans un buisson). C’est un peu incongru puisqu’il ne s’agit pas d’adultère : l’homme et la femme étaient mariés et avaient une bonne soixantaine d’années, c’est seulement que la femme avait envie, une fois dans sa vie, de se coucher avec quelqu’un dans les feuilles, comme l’avait fait sa meilleure amie quand ils étaient jeunes. ( /1)

3. Dans Une famille, expliquez la différence entre le Simon Radevin dont se souvient le narrateur au début du récit et celui qu’il retrouve quinze ans plus tard. Le narrateur se souvient de Simon Radevin comme un homme distingué, un ami de jeunesse sincère avec qui il partageait tout, et pouvait parler de n’importe quoi. Il explique que ce qui les a séparés est le mariage de Simon, avec une très jeune fille de la campagne. Quinze ans plus tard, le narrateur retrouve Simon complètement changé : il a beaucoup grossi, jusqu’à devenir rond et avoir les joues rebondies, vit en campagne, où il élève une famille nombreuse (ce que le narrateur voit d’un très mauvais œil, puisque ça sous-entend qu’il entretient de fréquents rapports sexuels avec sa femme, et ce, pas seulement à