Guiseppe Penone, exposition a beirut, premiere partie
Premiere partie
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L’empreinte de l’homme sur la nature “Le souffle est une sculpture” Giuseppe Penone
Parler d’art s’oppose généralement a la nature dans le contexte où l’homme ajoute une sorte d’artifice a quelque chose de purement naturel qui ne portait aucune intervention humaine. Comment Giuseppe Penone, a travers son exposition “Le
Souffle est une sculpture” a t-il réussit a supprimer cet idée d’artifice et faire en sorte que ses sculptures, ses dessins, ses photographies ainsi que ses installations se fondent à la nature en lui ajoutant un élément principale, le souffle, la vie humaine sans pour autant la modifiée?
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A premiere vue, l’exposition de Penone ne me parlai pas vraiment, il me semblait presque impossible de comprendre ce que l’artiste essayer de nous faire transmettre a travers ses oeuvres mais surtout pourquoi l’exposition appeler “le souffle est une sculpture” ne presenter que quatre sculpture. Ce n’est qu’une foi chez moi, après avoir lut la brochure expliquant en gros cette exposition et en revisionnant ses oeuvres grace au photo prise que le titre donner semblait donner beaucoup plus de sens. En effet, a travers ses oeuvres, Penone etablit une sorte de connection, il fait agir son corps avec la nature pour n’en former plus qu’un, tout en mêlant grace a l’emploie de nature morte pour ses expositions la notion du temps qui s’écoule qui concerne l’homme ainsi que la nature qui leur donne alors leur caractère éphémère une foi le souffle coupé.
D’autre part, ce qui m’avait intriguer lors de la visite était la presence de photos et de dessins dans une exposition notamment destiner a la sculpture. Ce n’est qu’apres avoir cerner les intentions de Penone qu’il ma sembler comprendre que ce que je percevais comme des photographie ou des dessins n’étaient qu’une forme abstraite de representer la sculpture, non pas en tant qu’oeuvre d’art mais en tant que representation de