Guy de mauapassant
L’argent ferait alors le bonheur. Telle est la morale de ce livre. Il mènerait les hommes à fréquenter les femmes, véritables pièges de cette société, et décuplerait toute fortune possédée. Maupassant peint avec un regard presque ironique et dédaigneux le tableau de scènes Parisiennes fréquentes voire quotidiennes, faisant évoluer ses personnages par des fréquentations typiquement hypocrites, par le mélange d’un ensemble de gens portés par l’argent, valeur suprême. Dans ce monde du journalisme sont évoquées des complications politiques sur fond d’économie, avec les dessous de la colonisation Française dans les pays du Moyen-Orient actuel. L’argent s’inscrit donc dans un récit vraisemblable, dans les dessous de la presse Parisienne, en rapport avec l’actualité de l’époque. Maupassant connaissait parfaitement le monde du journalisme. Il utilise en quelque sorte George Duroy comme le porte-parole de toutes les manigances exercées dans ce monde où la vérité devrait être essentielle. Le début du roman se déroule dans la rue. Les inquiétudes du personnage sur l’argent restant confèrent l’idée au lecteur que George Duroy est un homme peu fortuné. D’ailleurs, le narrateur nous