Quand la nature se fâche : On l’oublie souvent, mais le monde moderne repose notamment sur un mythe: « L’homme veut dominer la nature ».Il ne veut plus seulement l’aménager, s’y faire une place, mais l’exploiter, la soumettre par l’intelligence, par la technologie.
Mais il arrive que ce mythe d’une humanité surpuissante et immortelle se fracture. La nature, dans sa violence, son incohérence reprend ses droits.

Introduction :

La République d’Haïti, le pays des Grandes Antilles occupant le tiers occidental de l’île d'Hispaniola. Avec ses 27 750 km2 et comptant plus de 10 millions d'habitants, fait partie des pays les plus pauvres et les plus démunis au monde. Se trouvant sur région particulièrement sensible aux tremblements de terre. Celui du 12 Janvier 2010 fut le tremblement de terre le plus puissant jamais enregistré dans le territoire. Partant de la capitale Port-au-Prince avec une intensité de 7,2 équivalent à une bombe H, et se propageant à une vitesse folle aux quatre coins de l'île causa plus de 200'000 morts,
300'000 blessés et 1,5million de sans-abris.
Ce séisme se classant dans les séismes les plus meurtriers depuis 1900 derrière celui du
27 juillet 1976 de magnitude 8,2 qui se déroula en Chine qui fit 240'000 morts et celui d'Indonésie de magnitude 9,4 qui fit 230'000 morts. Les effets du tremblement terre, autres que la destruction des habitions, créa une hausse du seuil de pauvreté par une grande famine et une apparition de nouvelle maladie jusque-là presque inconnu dans le pays. Le manque d'eau potable, de nourriture et l'augmentation des personnes sans domiciles fixe qui sont dû aux difficultés de reconstruction sont les sujets que nous allons aborder.

Analyse :
Le tremblement de terre qui est survenu à Haïti le 12 Janvier 2010 a causé beaucoup de dégâts. Voilà les sujets que nous allons traités :
-L'augmentation du seuil de pauvreté
-La famine
-L'apparition du choléra + eau potable
-La difficulté de reconstruction,