Hda salvator dali
Arts
La persistance de la mémoire
La persistance de la mémoire, 1931
Huile sur toile. 24,1 x 33 cm. The Museum of Modern Art, New York http://pedagogie.ac-toulouse.fr/col-zola-toulouse/spip/college/IMG/jpg/kung_fu-8.jpg L’œuvre « La persistance de la mémoire », est devenue l’une des œuvres les plus représentatives et les plus mystérieuses de Salvatore Dali. Cette œuvre connu aussi particulièrement sous le nom : « Les montres molles », a été peinte quand Dali n’avait que 27 ans. En 1929, Dali entre pleinement avec le mouvement surréaliste, il rompt avec sa famille et par voie de conséquence avec le Cadaqués de son enfance et de sa jeunesse. C’est aussi l’époque où son père le bannit pour avoir blasphémé contre sa mère morte en 1921. A l’horizon de ce tableau le paysage est couronné par la mer, avec un ciel crépusculaire et des falaises escarpées sur le côté droit. Ce paysage est coupé par trois montres molles et une quatrième rigide qui donnent de nombreuses interprétation à l’œuvre. L’une des montres molles pend sur l une des branches de l’olivier qui se trouve a gauche du tableau ; une autre, tout aussi déformée, repose sur un forme qui parait endormie, et qui occupe le centre du tableau. Le visage pourrait bien être un autoportrait de Dalí, puisque dans plusieurs œuvres de cette époque on retrouve son portrait intégré dans le paysage sous forme de roche comme dans Le grand masturbateur (1929), où Dalí s’auto représente et s’identifie aux traits des rochers du Cap de Creus. La dernière montre molle s’appuie sur le meuble situé sur le côté gauche. Dessus, on peut apercevoir une mouche. Or, cette dernière est un symbole qui représente une force maléfique. Chez les Grecs, la mouche était un insecte qui représentait le tourbillonnement de la vie olympienne ou l’omniprésence des dieux. D’autre part la mouche représente une incessante poursuite. En suivant cette hypothèse, il existait un être dans les divinités Syrienne qui de nommait