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2) Tout d’abord, des groupes d’enfants dans un club d’activités n’ont pas le même comportement ni les mêmes réactions que des salariés dans une entreprise. Mais nous pouvons quand même tirer des enseignements. Nous constatons que le style autoritaire induit un climat apathique, avec des décharges d’agressivité envers certains membres du groupe ou vers l’extérieur, des performances satisfaisantes et régulières qui s’effondrent en l’absence du leader, un groupe peu cohésif. Le style démocratique entraîne un bon climat socio-émotionnel et une satisfaction des membres, des performances élevées même en l’absence du leader, un groupe très cohésif. Quant au style laisser-faire le climat est le même que dans le premier groupe, l’insatisfaction est encore plus grande, le manque de cohésion est majeur.
Donc le groupe le plus efficace fut celui dont le leader adoptait un style démocratique.
En conclusion un chef d’entreprise aurait tout intérêt à adopter ce style de leadership dans son entreprise de manière à assurer son bon fonctionnement même si, encore une fois, l’expérience a été réalisée sur des groupes d’enfants et non sur des