Hi, friends, we just came back of Australia !
D'après l'Administration Pénitentiaire, l'institution carcérale lâche brutalement les sortants de prison sur un trottoir, le jour de leur libération, sans souvent les prévenir de leurs droits. Elle les a brisés, dépersonnalisés, déstructurés durant des années, au point de les rendre incapables de refaire face à la vie extérieure : bien sûr l'administration adopte un langage humaniste pour se donner bonne conscience. Mais la réalité est là : taux d'échec 75 %. L'institution carcérale s'en lave les mains, démontrant son incapacité en la matière.
De plus, L'administration pénitentiare à une «mission» qui se synthétise en quatre points : protéger la societé, assuter la punition du condamné, favoriser son amendement, et permettre sa réinsertion. Or les deux derniers points sont très peu assurer, voir pas du tout, il y a un taux d'échec très elevé (75% de récidive).
→ Des difficultés concrètes recontrées par les ex detenus lors de leur réinsertion OU des condiotions défavorable dans un milieu carcéral.
On parle beaucoup de réinsertion des personnes détenues : on devrait d'abord parler "d'insertion", car une bonne partie des personnes qui sont mises en prison ne sont pas réellement bien insérées dans la société avant leur incarcération. Elles ont souffert dans leur passé (souvent dans