hida courage
Je vais vous présenter un poème s'intitulant « Courage », qui fait parti de « L'Honneur des Poètes » écrit dans la clandestinité en 1943 par un poète résistant français, nommé Maurice Hervent, pseudonyme de Paul Éluard de son vrai nom Eugène Grindel, né en 1895. Ce récit évoque la misère des parisiens ainsi que l'appel au courage durant l'occupation allemande, pendant la Seconde Guerre Mondiale, c'est pourquoi je trouve intéressant de se poser la question suivante : « En quoi ce poème est-il un appel au courage ? » Dans un premier temps, je vous parlerai de la forme et de l'énonciation de ce poème, puis de Paris et les parisiens, et enfin je finirai par la conclusion où je répondrai à la problématique.
Tout d'abord, dans ce poème, le poète évoque tout de suite la détresse de Paris occupée. Le mot Paris est scandé, répété avec insistance, comme une sorte de refrain.
Les vers sont libres car on y trouve des octosyllabes, des décasyllabes ainsi que des pentasyllabes. Donc, on peut penser qu'il s'agit d'un poème monotone, car il possèdes des mètres courts, ainsi que d’occasionnelles rimes (Vers 8-9), et qu'il est constitué en une strophe, tel un discours, un cri. Durant les 20 premiers vers,
Les vers sont libres car on y trouve des octosyllabes, des décasyllabes ainsi que des pentasyllabes. Donc, on peut penser qu'il s'agit d'un poème monotone, car il possèdes des mètres courts, ainsi que d’occasionnelles rimes (Vers 8-9), et qu'il est constitué en une strophe, tel un discours, un cri. Durant les 20 premiers vers,
Les vers sont libres car on y trouve des octosyllabes, des décasyllabes ainsi que des pentasyllabes. Donc, on peut penser qu'il s'agit d'un poème monotone, car il possèdes des mètres courts, ainsi que d’occasionnelles rimes (Vers 8-9), et qu'il est constitué en une strophe, tel un discours, un cri. Durant les 20 premiers vers,
Les vers sont libres car on y trouve des octosyllabes, des décasyllabes ainsi que