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Après la réédition, on notera deux changements dans le texte dont le passage du magnétoscope à l’ordinateur personnel (PC) ainsi que celui du franc à l’euro. Toutefois, le roman en lui-même n’a pas changé et il est toujours aussi facile à lire, s’adressant aux adolescents, mais également aux lecteurs plus âgés, malgré les thèmes qu’il aborde comme, entre autres, les questions financières, les relations amoureuses et éventuellement physiques entre les jeunes ou encore la relation parent-enfant dans une famille monoparentale.
L’histoire d’Emilien Pardini est à suivre car Baby-sitter blues est le premier de la série, celle qui sera suive par, dans l’ordre chronologique, Le trésor de mon père, Le clocher d'Abgall, Au bonheur des larmes, Un séducteur-né, Sans sucre, merci, Nos amours ne vont pas si mal.
Comme il a été annoncé un peu plus haut, le roman ne manque pas d’évoquer les questions de difficultés financières et c’est avec ce sujet que démarre véritablement le roman sans pour autant représenter une situation dramatique en ce qui concerne Emilien ainsi que sa mère.
En effet, le narrateur peut être décrit comme un adolescent comme les autres. C’est ainsi qu’il désire posséder un ordinateur comme son ami Richard, un matériel informatique dont le coût à l’achat s’élèverait à 800€.
L’on n’est pas sans savoir qu’il s’agit d’une somme considérable. Evidemment, sa mère lui a déclaré qu’elle prendrait le reste en charge si Emilien pouvait gagner la moitié de celle-ci. Mais il lui faut donc fournir des efforts pour y arriver.
Ainsi, sur les conseils de Martine-Marie, la filleule de sa mère, celle dont le