Un progrès industriel : la ligne d’assemblage : de Frederick Taylord aux robots

Le progrès c’est l’amélioration de quelque chose.

Le progrès scientifique : de la pénicilline aux anti-biotiques,
Le progrès technologique : du premier ordinateur créé en 1943 aux Etats Unis qui pesait plus de 30 tonnes au micro-ordinateur qui pèse moins de 1 kg aujourd’hui
Le progrès social : l’espérance de vie qui passe de 45 ans en 1900 à 81 ans en 2012.
Le progrès économique : l’augmentation des richesses

Le progrès industriel : la ligne d’assemblage, sujet que je vais développer de Frederick Taylord aux robots

Taylord, ingénieur américain, établit vers 1880 l’OST – organisation scientifique du travail.
Chronométrer chaque tâche, supprimer les gestes inutiles, conserver la meilleure méthode

et à partir de là, imposer à un ouvrier, une tâche précise à executer dans un temps précis, selon un mode opératoire imposé, sans aucune explication donnée. Il n’y a aucun échange entre les concepteurs et les ouvriers.

La productivité de chaque homme augmente.

Henry Ford rajoute à cette méthode, d’autres principes :
Amener le travail aux ouvriers
Créer des pièces interchangeables pour produire en série sur différents produits dans le but de diminuer les coûts et de réparer facilement
Augmenter les salaires, en fonction de la productivité de chacun, dans l’objectif d’augmenter la consommation.

Henry Ford arrive à diminuer le temps de production de sa 1ère voiture : de 6 heures à 1h30

Les conditions de travail sont difficiles, les ouvriers ne se sentent par reconnus, sont dévalorisés. Des manifestions se mettent en place. Le fordisme atteint ses limites.

La répétition fatiguante et difficile des tâches, et la concurrence amènent à des innovations techniques pour éviter les absences des ouvriers, les retours des produits, dans le but d’augmenter la productivité.

Les lignes de montage vont être de plus en plus automatisées. Le rôle de l’homme va