Histoire culturelle
Plusieurs phases rythment la corrida :
Le défilé préliminaire appelé Paseo, le Tercio de piques avec le picador, le spectaculaire Tercio de banderilles, le Tercio de muleta (cape rouge) au cours duquel le torero exécute diverses passes c'est la Faena, l'estocade ou mise à mort du taureau.
A Nîmes, l’amour du taureau est passionnel. Dès la deuxième moitié du XIXe s. on organise des corridas dans les Arènes. Aujourd’hui, on ne compte plus les clubs taurins et les cafés où les avis sur telle corrida ou tel torero fusent et s’entrechoquent.
Cependant de nombreuses associations sont contre la pratique de la corrida dites sanglante .La mobilisation de ces anti-corridas on fait dernierement fait leur preuve lors de l'interdiction de la corrida en Catalogne voté le 28 juillet 2010 c'est la deuxième en espagne aprés les îles canaries.C'est un coup dur pour la tauromachie espagnole car elle génere environ 40000 emplois chaque année.En opposition des alliances anti-corrida les défensseurs de cette tradition dénonce le but politiques du débat, liées au régionalisme catelan. Pour certains médias espagnoles interdire la corrida dans ce contexte de revendication identitaire,c'est avant tout bannir de Catalogne un symbole de la culture espagnole. Plusieurs régions ,dont Madrid, envisagent désormais d'inscrire la tauromachie à leur "patrimoine culturel" pour protéger cette tradition. Et les pro-corridas ont dans leur camp un allié de poids: le roi Juan Carlos,qui affirme son soutien à la cause. Pour l'alliance anti-corrida de nîmes c'est une victoire qui renforce l'idée d'abolition de la corrida en France. En effet,en France 58 députés de tous bords leurs collègues catalans anti-corridas. Ils ont signés une proposition de loi des députés Muriel Marland-Militello (UMP) et Geneviève Gaillard (PS)