2) Les Vandales, le plus délicat des peuples.

L’auteur du texte, Yves Modéran, né en 1955 et décédé en 2010, est un historien qui c’est spécialisé dans l’histoire de l’Afrique romaine et tardive, particulièrement l’époque vandale. Dans ce document, l’auteur traite sur les mœurs de ce peuple qu’est les vandales. S’il mérite, ou non, l’attribution de cette réputation qui les décrit comme étant un peuple violent et destructeur. Mais aussi, pourquoi ils ont obtenu cette réputation.
Yves Modéran répond à sa problématique, sa thèse est donc celle-ci : «Si les conquérants des années 430 n’étaient certainement pas de paisibles voyageurs, leurs descendants, qui furent vaincus en 533, étaient plus romains que beaucoup de leurs vainqueurs byzantins».
Premièrement, l’auteur commence son texte par la représentation que le prêtre Victor de Vita à laissé de ce peuple. Où il est clairement dit que les vandales sont cruelles, féroces et émanent la terreur. Ils se sont heurtés à l’église romaine et donc le terme «vandalisme» leur a été attribué. Par contre, Modéran affirme que : «les recherches récentes des historiens, éclairées par les progrès souvent spectaculaire de l’archéologie, donnent une toute autre image de ce peuple et du royaume qu’il édifia… ». Il est décrit que le roi vandale, Genséric, choisit d’installer sa populace au nord de l’Afrique. Il eu recours à des mesures brutales. À part les saisies de terres et de biens, Genséric voulait convertir tous ceux qui n’étaient pas de même confession que lui. L’auteur décrit que c’est par des tentatives très violentes que la conversion de tous les africains c’est produit. C’est par des mesures prises par le roi Genséric qui fut pointé du doigt comme étant brutales, d’où vient leur réputation. Un fait intéressant est que «le roi permit à la civilisation romaine et à ceux qui l’incarnaient de s’y maintenir pleinement…». Il y avait une forte masse imprégnée de la culture romaine. L’auteur nous dit brièvement que les lois