JUSTICE ET PEINE DE MORT

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Introduction :

La peine capitale est une sanction pénale ordonnant la suppression de la vie d'un condamné reconnue coupable d'une faute qualifiée de "crime capital". C'est une sanction reconnue bien que désapprouvée par les institutions internationales comme l'Organisation des Nations unies (ONU). Les États abolitionnistes sont aujourd'hui majoritaires, mais ils ne représentent encore qu'une minorité de la population mondiale. 57 pays ont recours à la peine de mort. Mais 141 autres l’ont aboli. Depuis 1990, 50 pays sont devenus abolitionnistes. On constate quelques avancées : aux États-Unis, le Connecticut est devenu le 17 ème État fédéré à abolir la peine de mort et l’Oregon a instauré un moratoire sur les exécutions. En Chine, le gouvernement a supprimé la peine de mort pour 13 infractions et la prison pour les mineurs. Pourtant, le débat sur la peine de mort n’est pas clos

Problématique : En quoi la peine de mort fait elle débat dans le monde ?

Qu’est-ce que la peine capitale ?

L’application légale de la peine de mort constitue le châtiment physique sous sa forme la plus sévère. Capitale vient du latin « caput », la « tête ». La peine de mort a été appliquée de nombreuses façons au cours des siècles : la crucifixion, l’immersion dans l’huile bouillante, l’écartèlement, l’empalement, le bûcher, le broiement, la mise en pièces, la lapidation et la noyade en sont des exemples. Actuellement, les condamnés sont exécutés selon d’autres méthodes.

Voici les méthodes d’exécution contemporaines les plus courantes :

La lapidation : Ce châtiment, qui consiste à tuer à coups de pierres. Elle n’est pratiquée que dans quelques pays où prévaut la loi islamique, qui la prévoit notamment pour les crimes d’adultère (Afghanistan, Arabie Saoudite, Iran, Nigéria, Pakistan, Soudan, Yémen).

La chaise électrique : Cette méthode est utilisée exclusivement aux Etats-Unis. L’électrocution produit des effets destructeurs visibles