20 MARS 2013 Il y a plusieurs façons de voir les choses comme l’état de nature chez l’humain et le contrat social. Il y a aussi deux grands philosophes qui s’y sont aventuré dont Thomas Hobbes et Jean-Jacques Rousseau. Ces deux penseurs ont une pensée différente d’un point de vue, mais au fond ils ont aussi des points en commun. C’est ce que je vais essayer de démontrer dans le texte ci-dessous.

* État de nature

Premièrement chez Hobbes l’être humain est fondamentalement mauvais, tandis que chez Rousseau c’est différent, pour lui l’homme est fondamentalement bon, mais c’est la société qui le corrompt. Pourquoi Rousseau dit qu’il est bon ? Parce que selon lui, l’humain a empathie, une pitié naturelle. Ce qui est en quelque sorte comme le Conatus chez Hobbes. L’instinct de conservation de survie, mais encore là, dans cette ressemblance il y a différence. Celle que chez Hobbes l’homme est prêt à tuer sans scrupule pour sa survie et que du côté de Rousseau c’est la pitié naturelle. L’humain s’associe à son semblable. D’un côté il y a abondance de nature (Rousseau) et de l’autre elle est limitée en ressource (Hobbes). Pour ce dernier, le bonheur n’est pas important. Pour revenir au Conatus de Hobbes, en nature l’humain est libre et il a le désir de conservation de soi-même. Il a le droit naturel ce qui consiste que tout homme peut utiliser son pouvoir pour la préservation de sa propre nature, sa vie. Dans l’état de nature il n’y a pas de sécurité sans un gouvernement; «l’homme est un loup pour l’homme.» L’homme vit dans la crainte d’une mort violente. Chez Rousseau en état de nature, les humains sont premièrement très loin les uns des autres et quand ils se croisent souvent ils s’ignorent. Ce parce que l’humain est autosuffisant et quand il ne l’es pas ou plus, c’est à ce moment qu’il a besoin de l’autre.

* Contrat social

Alors la peur en état de nature selon Hobbes apportera à faire un/des pacte(s), se donner des lois communes pour