Hotellerie
Le terme d’acharnement thérapeutique est complexe a définir. SI le corps médical , les gouvernements et les communautés religieuses s’opposent globalement à l’acharnement thérapeuthique, aucune définition n’a été établie sur le plan internationnal, même si L’OMS, en 1990 aborde le sujet dans les soins palliatifs qui « ne hâtent ni retardent le décès ». En effet, c’est grâce au développement des soins palliatifs et de la recherche en éthique médicale que des définitions sont apparues. Ainsi, pour l’Union Nationnale des Associations pour le développement des Soins Paliatifs (UNASP), l’acharcnement thérapeuthique est « une attitude qui consiste à poursuivre une thérapeuthique lourde à visée curative, qui n’aurait comme objet que de prolonger la vie sans tenir compte de sa qualité, alors qu’il n’existe aucun espoir raisonnable d’obtenir une amélioration de l’état du malade ».
Le Comité Consultatif Nationnal d’Ethique (CNNE), le définit lui comme « une obstination déraisonnable, refusant par un raisonnement buté de reconnaître qu’un homme est voué à la mortet qu’il n’est pas curable ».
Il nous apparait donc bien difficile d’exposer une définition définitive, chaque individu ayant sa propre défitnition qui peut alimenter le