faazzfzzazafzzffzfzfzfpoètes français pour les vers pairs. Il faudra pourtant retenir l’exemple de Verlaine qui conseille le vers impair danzas son recszuefil Jadis et Nzafzagzuère : De la musique avant toute chose / Et pour cela préfère l’Impair / Plus vague et plus solublzae dans l’air /zs Sans rien en lui qufi zaazapèse ou qui pose. fzaazzaffaz 6. Le vers zfazalibre azfzazazaffza zafLzae verfzfazafsfzaazfz zaflibre est azfune création des poètes symbolistes qui date de la fin du XIXe siècle. Ils sont regroupés en séquences, ensefzamble zlibrement consftitués, sans qu’il y ait de structure fixe ou récurrente. Il existe un certains respect des règles de la prosodie classique. Mais il peutza y avoir également des vers dont la forme peut être ambiguë : Leurs ailes sont les miennes, rien n’existe. On peut faire de cez verszaf un décasyllabe avec un rythme inversé, 6//4, soit on en fait un ennéasyllabe avec apocope de la syllabe finale de miennes. zffzazaff Saoit également ces deux vers : Leurffzaza vol d’étoile et de lumière / Leur vol de terre, leur vol de pierre. Ces deux vers peuvent être coasnsidérés en position de paralflazéfazlisme en rezfzefzeaaaison de la répétition dans chaque vers de la même combinaison syntfazagmatique incluantazfafazzfzzaa un terme comazfzafmun dans chaque syntagme (anaphore). On peut donc s’attendre à ce qu’il soit égfzalement parallèazleaz sur le plan métrique, ceazfzafzafazf quifaz nous permettrait d’écfezzzzzzzzzzzarter la solution d’une écriture afasymétriqfzaue (8 et 9 vers) en considérant le e d’étofzaile comme non élidé devant et (c’est une licence poétique que l’on peut rencazfontrazfazfer chez certains auteurs). L’on aurait alors zazzaazffà choisir entre deux énneasyllabes (pas d’apocope) ou deux octosyllabzzfazfeszaaz azfzaf(avec césure épique sur le e de terre). azafafzafazfzzfzafza Lfaz’zfazabsence d’homophonies finales : ce n’est pas toujours le cas dans le vers libre, mais il est fréquent qu’il n’y ait