Lors de sa première inauguration du Salon international de l’agriculture en 2008, le président de la république française Nicolas SARKOZY a exprimé le souhait que la France rentreau patrimoine immatériel de l’humanité pour sa gastronomie. Et le souhait du président a été exaucé le 16 novembre 2010 dans la capitale Kenyane.
Cette distinction concerne une coutume sociale destinée à célébrer les moments les plus importants de la vie des personnes tels que naissance, mariage…
La description du repas de fête, qui doit comporter au moins quatre services pour célébrer l’art de "bien manger" et de "bien boire" est précis apéritif, entrée, mets de poisson et/ou de viande accompagné de légumes, fromages, dessert et digestif.
Et donc une pratique qui renforce l’identité collective et qui encourage la diversité culturelle du monde.

Les ministres de l'agriculture Bruno LE MAIRE et de la Culture Frédéric MITTERAND ont affirmé que cela allait permettre de valoriser les produits alimentaires et les savoir-faire culinaires, augmenter le tourisme gastronomique en France et développer la promotion du patrimoine alimentaire français à l'échelle internationale.
"C'est une excellente nouvelle", se réjouit Allan SICHEL, président de la Fédération des négociants de vins de Gironde. Selon lui, la décision de l'UNESCO ne devrait pas avoir d'effets "à court terme", mais les exportations de vins vont pouvoir se développer grâce à la réputation des vins de Bordeaux, et la valorisation de la gastronomie française : Et il n'y a pas que les produits de luxe qui seront concernés.
Autre vainqueur de cette inscription, la filière agricole française. Pour Jean-Michel LEMETAYER, président de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles), premier syndicat français du secteur, c'est une "formidable reconnaissance parce qu'il y a un lien très fort entre agriculture, produits de terroir et gastronomie", et cela "va forcément donner un plus à l'image de la France dans le