Analyse de cas Hydro-Québec

Une crise du verglas créé des pannes et des problèmes majeurs pour l’ensemble du Québec. Pour éviter qu’une catastrophe de cette envergure ne se reproduise, Hydro-Québec propose l’annonce du projet `` La boucle montérégienne ``
Afin d’améliorer la sécurité de l’alimentation en électricité le plus rapidement possible, Hydro-Québec se vois offrir l’opportunité de se soustraire aux procédures d’audiences publique habituelles. Cependant, plusieurs groupes, individus, parties prenantes qui vois plutôt en ces démarches des risques et des inquiétudes vis-à-vis les raisons d’être réelle du projet, s’opposent et expriment leurs mécontentement face a certaines mesure d’urgence adoptées par l’entreprise.
Citoyens expropriés, agriculteurs, (exigeant un tracé adéquat afin d’éviter le passage de la ligne de transport sur leurs terres) gouvernement (exigeant des démarches rapide) nombreuses sont les parties avec lesquelles doivent négocier Hydro-Québec.
Afin de satisfaire le mieux possible les exigences de tous et chacun, l’entreprise s’est muni d’un chef de projet d’expérience pour mener a bien les travaux et exécuter la phase1 de ‘’la boucle montérégienne’’
Ayant plus de liberté de manœuvre accordé par le gouvernement (conséquemment à l’ampleur des événements ainsi qu’aux millions de personne concernées par la mise en œuvre de mesure de sécurité supplémentaires suite à la récente crise) le chargé de projet, Gérard Lachance, fit face à un conflit d’intérêt où il dû prioriser certaine parties prenante aux détriments de certaines autres.
En effet, afin d’éviter un tracé excessivement couteux pour l’entreprise et respecter les délais préétablis pour la durée des travaux, Gérard Lachance, dû aller à l’encontre de l’opposition de certains citoyens qui devaient être expropriés et se contenter d’un taux de seulement 90% d’ententes à l’amiable.
D’un autre points de vu, le chargé de projet aurais pu évaluer d’autres options pour tenter d’obtenir