« HYMNE A LA BEAUTE »

commencer ds l’intro par dire ce qu’est un hymne et garder le parallélisme pour la CCL.

I. un chant sacré à la gloire de la Beauté. 1- poésie formelle qui glorifie une certaine idée de la Beauté : - succession de quatrains, alexandrins => strophes traditionnelles. - nombre symbolique, le chiffre 7 représente une forme de perfection inspirée de la Bible. - Une certaine rigidité qui apparente ce poème au Parnasse ‘l’art pour l’art’. 2- une mise en scène de la Beauté. - thème abordé de façon traditionnelle : la femme (image parallèle de la beauté). - L’aspect total de la Beauté : elle est de tous les sens (5). - Les synesthésies baudelairiennes, art de montrer sa totale présence ds ce qui ns entoure. 3- le poète ds son rapport à la Beauté. - omniprésence des marques de la 2nde pers du sing/peu de « je » v. 23-24, 27. - disparition au profit de la seule présence de la Beauté ds sa vie => elle est le sujet (grammatical et sémantique du poème), beaucoup de vb d’action. - Le poète se soumet à sa volonté et ne cesse de la rechercher.

II. la Beauté, un idéal artistique extrême. 1- la femme, forme et sujet intemporel : - l’assimilation de la femme à la Beauté est une façon traditionnelle de parler d’elle. Lyrisme ! - Les formes et la sensualité féminines sont des images attendues de la poésie. - Montrer le poète comme l’amant de la Beauté (comme il le serait d’une femme) est un poncif (bref, c’est du déjà vu). 2- L’image de la Beauté selon CB : - le rythme binaire permet de créer une dualité de l’idéal selon CB. Ne pas oublier de parler du « ou » conjonction de coordination qui marque l’alternative et donc le choix non défini. - L’impossibilité de la définir