C’est horrible ! Je suis enfermé dans un des conteneurs, plongé dans l’obscurité que seule vient, parfois, éclairer ma montre digitale. Nous avions accosté en Inde pour embarqué des produits alimentaires asiatiques. J’étais entré pour charger une palette de produits en partance pour la France. Certains cartons m’intriguaient. Que contenait-ils ? J’en ai ouvert un portant l’indication “céréales“ et à peine eus je le temps de lire qu’il s’agissait de galette que j’entendis derrière moi le fracas de la porte qui se refermait. J’étais enfermé ! J’ai hurlé, j’ai cogné contre la paroi mais rien n’y a fait il ne m’ont pas entendu. Je suis pris au piège, terrifié à l’idée que je vais sûrement y rester. J’ai retrouvé, à l’aide de ma l’aide de la faible lumière de ma montre, la nourriture en quantité que j’avais remarqué au préalable mais, même si le voyage n’est pas long, je ne survivrai pas longtemps dans le froid artificielle qui me glace déjà. A refaire 2° jour. Je regarde ma montre toute les minutes. Le temps et désormais une voie à sens unique entre moi et l’extérieur. Il n’y a pas, ici, de bruits autres que ceux que je produit moi même. Les bruits me manque déjà. La lumière du soleil aussi. C’est étrange : je n’avais jamais pensé que ces deux choses tellement... primaire, aurait put un jour m’être enlevé. J’ai trouvé de l’eau. Enfin quand je dit eau ce n’est qu’une flaque qui ne doit pas contenir plus de quelques litres : de quoi tenir quelques jours c’est déjà ça.

3° jour. Parler de sa vie en général

4° jour. J’ai dormi longtemps et, à mon réveil, mon corps était congelé, presque mort. Je me suis levé et le dégel a était comme un fer chauffé a blanc qui a ranimé mon demi-cadavre. Je ne pourrai pas survivre à se voyage, j’en ai désormais la certitude... Mais je ne peux pas me laisser mourir, peut être n’en ai je tout simplement pas le courage, car mettre fin à ma vie m’empêcherai bien des souffrances. Mourir... Développer sur l’envie de vivre