IIILes limites du travail dominical
A) Limites sociale
La France est les français sont en perte d’identité et le travail dominical ne ferai qu’accélérer cette tendance. En effet, le dimanche représente en France le jour de repos et ce serait une grande erreur sur le plan social que de vouloir casser le repos dominical. Celui-ci, est comme le dit Gerard Filoche « structurant socialement » autant dans le domaine familial, que la vie citoyenne, associative, culturelle, sportive, les loisirs, etc. Il pense que le véritable progrès serait d’imposer deux jours de repos hebdomadaires pour tous. Sur le travail du dimanche sont rappelées des notions générales : la tradition religieuse d’un pays rythme encore sa vie socio-économique. Pour la France de tradition chrétienne, le repos dominical est de rigueur. Ce jour représente le jour du seigneur, le jour ou l’homme se repose de sa semaine chargée. Cela fait partie des coutumes et des traditions et les français ne veulent pas voir cela changer. En effet d’après une étude faite en octobre dernier par L’indépendant, 94% des français ne sont pas favorables à travailler le dimanche et sont attacher aux principes. Il est vrai que dans les secteurs de la santé, des transports, de certaines industries à feu continu et commerces précis (alimentation), des activités culturelles, le travail du dimanche s’impose. Mais la volonté doit être selon Gerard Filoche de limiter et non d’étendre ces cas. Nous achèterions plus d’habits, de meubles ou autres produits non urgents le dimanche alors qu’on pourrait le faire le vendredi ou le lundi si les durées du travail réelles se rapprochaient vraiment des 35h.
Nous pouvons noter aussi les conséquences de travailler le dimanche sur la vie privée. En effet, la vie privée des salariés pâtit déjà assez des transformations de la vie professionnelle. Horaires de travail extensibles, usage professionnel croissant des nouvelles technologies, rythmes de travail décalés... autant d'évolutions qui