Il existe un vieux proverbe
Tu devrais déjà trouver quelques registres, et coller à chacun des exemples.
Pour commencer, le registre épique.
Pour rebondir sur les propos de Gemmill, tu peux effectivement évoquer l'héroïsme que ce soit dans l'Antiquité sous toutes latitudes (depuis les Spartiates qui se sacrifièrent aux Thermopyles en -480, aux Vikings qui espéraient ainsi atteindre le Walhalla), au Moyen-Age (chevalerie, code d'honneur; on mourait pour un seigneur, pour Dieu, pour une dame, parfois ou pour défendre son honneur..) mais aussi au XXème/XXIème (kamikazes japonais qui acceptaient de mourir pour leur empereur; kamikazes islamistes qui se font sauter au nom d'Allah).
La mort du combattant, quand elle survient au combat, est magnifiée, auréolée de gloire.
Le sens du sacrifice surpême était consenti au nom d'une cause considérée comme juste et noble. Parfois désespérée (kamikazes).
Jusqu'aux débuts de l'industrialisation de la guerre - càd l'introduction des systèmes d'armes permettant de massacrer un max d'ennemis en peu de temps - on acceptait de mourir allègrement.
Puis on trouve les registres tragiques/réalistes (les croix de Bois, par ex), polémiques (oeuvres anti-guerre, pacifistes).
Avec les guerres révolutionnaires, napoléonniennes; pire encore la boucherie de la 1ère guerre Mondiale, les vies humaines ont commencé à compter; on s'est aperçu qu'un officier tué au feu provoquait la désorganisation de son unité et que les héros n'étaient efficaces que vivants.
Depuis, la vie du soldat, du moins dans les armées occidentales, est considérée comme prioritaire. On n'hésite pas à engager des équipes de plusieurs hommes pour en récupérer un seul, on bunkérise le soldat.
Au sein des populations, la guerre est devenue une absurdité et chaque soldat mort est une défaite.
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