Il y a t-il un intéret à rentré dans l'histoire par le biais d'une fiction romanesque?

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Sujet (16pt) : Il y a t-il un intéret à rentré dans l'Histoire par le biais d'une fiction romanesque. Vous vous appairez sur les textes des corpus, des romans étudier et de vos lectures personnelles.

L'Histoire a connut énormément de conflits, de guerre, ce qui a inspiré de nombreux romanciers. De ces écrivains s'est développé un nouveau roman : le roman historique, qui s'inspire de faits historique tout en gardant la fiction romanesque. Mais alors existe t-il un intéret à rentré dans l'Histoire par le biais d'une fiction romanesque? A première vue, cela apporte trois choses : un nouveau style, une réfléxion , et une vision autre que celle de l'historien.
I) Cela apporte un style nouveau.
a) Le réalisme.
Les nombreux conflits ont provoqués une remise en cause du genre romanesque. La volonté de reproduire le réel, tout en gardant la fiction, se diffusa. Ce genre se developpa énormément au XIXeme siècle, après la Révolution, avec les guerres Napoléoniennes (La guerre et la Paix) ou bien encore avec la chouannerie(Le Chevalier des Touches) ; il se développa également au XXeme siècle, avec les guerres mondiales (l'été 1914), ou d'autres conflits tel le soulèvement communiste à Shangai (La Condition humaine).
Le réalisme tente de s'approché de la réalité tout en concervant ce qui fait de lui ce qu'il est : la fiction. Cela permet au lecteur de pouvoir s'identifier aux personnages, qui sont confrontés à des faits réel, et de se posé plus facilement la question suivante : que ferait-il si il été face à une telle situation?
b) De nouveaux sujets et scénario.
Avec le roman historique, le roman passe à un autre sujet que la bravoure , ou les valeurs et qualités du héros. Le sujet devient plus réel, et l'héroisme laisse place aux situations et sentiments plus probables. (La Condition humaine: "[...] tout se mêlait, en un brouillard de soif, de fièvre et de haine").
L'Histoire permet aux romanciers de pouvoir trouvés une multitude de scénario, beaucoup moins creux

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