• XIXème siècle (siècle des Lumières) → nouvel équilibre qui se cherche dans les rapports entre les hommes & les femmes, entre les classes (maîtres / valets). Joué en 1725 chez les Italiens (souligne l'aspect de la comédie). Pièce très brève (1 acte, 11 scènes) et l'une des plus politiques, île particulière car idéale, aspect utopique, rôles traditionnels inversés. Valet en position de force. • Rééducat° naufragés, Trivelin opère cette rééducat°. L'histoire fait intervenir l'image d'un monde inversé, le goût de l'expérimentation (les maîtres, autant que les spectateurs, prennent conscience de l'aliénation). Une fin qui éclaire → réforme morale (chacun retrouve son rôle) + montre une confiance en l'éducation, pas de remise en cause de la domesticité par le théâtre, il s'agit de corriger les mœurs (contrairement au théâtre classique). Iphicrate signifie "celui qui gouverne par la force" + grand général athénien. Début → scène d'expo. Ils sont échoués & commentent leur situat°.
Comment la relation d'autorité vacille-t-elle au fil des répliques ?
I. Exposition de la situation
a) Des protagonistes
Un début annonciateur
Registre pathétique (soupir puis parole : syntaxe affective) → il l'appelle, met en valeur son rôle de maître mais a besoin d'un contact humain. Les répliques agissent comme un parallélisme ce qui souligne une antithèse (ils n'éprouvent pas le même sentiment).
Des personnages opposés
La proposit° "avec" indique l'associat° d'Arl. avec sa bouteille → déjà ivre. "Mon patron" indique un lien humain pour Iphicrate (tonalité affective). Arl. répond à l'ordre de son maître (sorte de parodie). Iphi. rappelle le monde de la tragédie, contrairement au nom d'Arlequin qui vient de la Commedia dell'arte. En bref, le thème de la pièce est lancé.
Une ambivalence
Sorte de parallélisme (Arl. répète à la forme affirmative) → c'est une forme d'invers° (Arl. assume