KAISER Lola TD de neurobiologie {draw:frame} MACHKA Marjorie Licence 3, Groupe 2 Les mécanismes *neurobiologiques des* *phénomènes d’illusion et* *d’hallucination et* *hallucinogènes*. Année Universitaire 2009/2010 Sommaire INTRODUCTION. …………………………………………………………………………………………. 2

CONCLUSION. …………………………………………………………………………………………….14 *BIBLIOGRAPHIE. …………………………………………………………………………………………1*5 INTRODUCTION Nous savons que la perception c’est ce qui nous relie au monde et à notre environnement, grâce aux sens et aux idéologies individuelles ou collectives. La perception peut être soit une capacité sensitive soit le processus de recueil et de traitement de l’information sensorielle ou sensible. On peut dire que notre image du monde est produite par notre cerveau et que de ce fait notre représentation du monde n’est pas forcément exacte, elle est approximative. Le système visuel c’est l’ensemble des organes qui nous permet une perception visuelle, qui va de la rétine au système sensori-moteur. Le système visuel est essentiellement composé de l’œil, des nerfs optiques, du chiasma optique, du tractus optique, du corps genouillé latéral, des radiations optiques, du cortex visuel. C’est ce dernier qui est responsable du traitement des images en effet, il s’agit de traitement de bas niveau comme l’orientation ou encore les contours mais aussi un traitement de haut niveau comme les formes ou encore les mouvements. Cependant, la perception peut être faussée si la sensation est mal interprétée, c’est ce que l’on appelle l’illusion. Les illusions peuvent toucher tous nos sens en effet, elles peuvent être visuelles, auditives, tactiles, olfactives et gustatives. Quand la perception est sans objet on parle alors d’hallucination. Pour Henry Hey l’hallucination est « comme une perception sans objet à percevoir ». Tout comme les illusions, les hallucinations peuvent toucher tous nos sens. Les hallucinations